Comment pallier à l’engorgement des urgences ou des hospitalisations?

Avec la médecine de jour, ex. :

  • Depuis juin 2022, plus de 44 usagers ont été rapatriés de l’urgence vers la médecine de jour à l’hôpital du Suroit afin de recevoir leurs antibiotiques plutôt que de les faire revenir à l’urgence pour leur dose en court terme (24-72 h).
  • Un jeune homme présentait des symptômes d’hypoglycémie sévère sans médication ni pathologie connue. Une investigation rapide était requise. De façon conventionnelle, l’usager aurait été hospitalisé pour son investigation. En soignant autrement, l’usager a pu bénéficier dès le lendemain des mêmes soins en médecine de jour : examens radiologiques, prélèvements sanguins et la surveillance rapprochée requise en permettant d’éviter une hospitalisation pour établir le diagnostic.

Avec le Suivis virtuels en milieu de vie (SVMV), ex. :

Un usager est à l’urgence pour insuffisance cardiaque décompensée. Son autonomie et l’assistance qu’il requiert ne sont pas des enjeux à son domicile, en plus qu’aucun traitement ni suivi particulier ne sont faits de nuit. Les médecins ajustent le furosémide selon sa volémie, son poids, signes/symptômes et sa fonction rénale DIE. Il est à l’urgence depuis 36 h : il a reçu 4 doses de furosémide intraveineux, son essoufflement à l’effort est diminué, il demeure avec un œdème résiduel des membres inférieurs et son état est stabilisé.

Pour soigner autrement, cet usager pourrait-il avoir congé avec ce type de suivis dans son milieu de vie ou sans être hospitalisé ?

  • Le suivi virtuel permet un suivi plus serré des données physiologiques et des signes et symptômes verbalisés par l’usager et procéder à l’ajustement de la médication selon l’ordonnance individuelle statué au congé ou faire le suivi avec le médecin répondant.
  • La médecine de jour peut effectuer les prélèvements sanguins, vérifier les paramètres cliniques, offrir une surveillance étroite et étendue et administrer le furosémide intraveineux selon l’ordonnance individuelle statué au congé ou faire le suivi avec le médecin répondant de l’établissement.
  • Seuls ou combinés, ces différents services externes peuvent faire la différence.

Retour au travail 6 jours après un test positif à la COVID-19

La situation de la main–d’œuvre dans le réseau de la santé et des services sociaux est précaire. Elle commande donc la mise en place de mesures visant à augmenter significativement la disponibilité des employés afin d’assurer la sécurité des usagers. 

Dès maintenant, nous appliquons de nouveaux scénarios de retour au travail des travailleurs de la santé (TdeS) sans test de détection antigénique, conformément à la Directive sur la levée de l’isolement des travailleurs de la santé des établissements.

Qu’est-ce que ça signifie?

  • Tout TdeS (incluant les médecins) étant un cas confirmé de COVID-19 devra effectuer un retour au travail après 5 jours d’isolement. Par conséquent, il sera attendu au travail au jour 6, selon son horaire. S’il est incapable de revenir comme prévu, il devra communiquer avec la Ligne COVID pour que les suivis soient effectués. 
  • Le TdeS DOIT en tout temps appliquer rigoureusement les principes de PCI requis.
  • Le TdeS DOIT en tout temps suivre à la lettre les recommandations de la CNESST concernant le port de l’ÉPI comme le masque N-95.

Quelles sont les conditions à respecter?

  • Port du masque N-95 obligatoire pendant les 10 jours qui suivent la date du début de l’isolement.
  •  Auto-isolement strict :
    • Utilisation d’une salle de pause et de repas dédiée;
    • Maintien de la distanciation physique de 2 mètres avec ses collègues s’il y a absence de barrière physique, dans la mesure du possible;
    • Affectation dans une seule installation et une seule unité jusqu’à la fin de la période d’isolement de 10 jours.
  • Respect strict des mesures de PCI en place, notamment :
    • Hygiène des mains;
    • Port et retrait adéquat de l’ÉPI.

Rappels

  • Les déclarations de contacts et tests rapides positifs doivent être effectuées à la Ligne COVID (450 699-7901, poste 2250).
  • Il est possible de joindre quelqu’un 7 jours sur 7, de 8 h à 16 h.
  • Restons vigilants, car la COVID ne prend pas de vacances! 

Direction des ressources humaines, du développement organisationnel et des affaires juridiques (DRHDOAJ)

De nouveaux outils pour bien orienter les usagers vers les services ambulatoires spécialisés de gériatrie

Le but du Programme des services ambulatoires spécialisés de gériatrie (SASG) est d’offrir une expertise gériatrique au sein d’un continuum de services afin d’améliorer la qualité de vie des usagers (incluant leurs proches) vivant des situations complexes ou atypiques reliées au vieillissement pour lesquels les équipes de première ligne ou les autres spécialités médicales ont besoin de soutien au sujet du diagnostic, du traitement et du suivi.

Dans l’objectif de poursuivre l’implantation du programme, de nouveaux outils ont été créés afin d’expliquer les différents services, les critères d’inclusion et d’exclusion ainsi que la procédure de référencement.

N’hésitez pas à vous y référer!

On répond à vos questions sur le DCI CISSSMO

Malgré le fait que la période estivale soit déjà bien amorcée, sachez que le projet de dossier clinique informatisé (DCI) CISSSMO ne prend pas de vacances… 💪 

Effectivement, les travaux évoluent rapidement (formation des pilotes, début de l’entrée des données dans la plateforme, tenue d’ateliers avec les secteurs, rencontres avec les fournisseurs et plus encore)!

Depuis l’annonce du projet, vous êtes nombreux à nous poser des questions sur le futur DCI. Bien que nous n’ayons pas encore toutes les informations, nous avons regroupé les questions les plus demandées ainsi que leurs réponses. Bonne lecture!

1. Qu’est-ce qu’un DCI?

Un DCI permet plus que de simplement visualiser les infirmations cliniques de l’usager. 

Le DCI, c’est également : 

  • des alertes et des mises en garde en temps réel;
  • des rappels et un système de connaissance des médicaments;
  • une saisie automatique des informations (évite d’inscrire ou de réinscrire les informations déjà inscrites dans le système);
  • un aide à la décision clinique permettant de prévenir les erreurs;
  • et plus encore!

2. Quelles fonctionnalités seront incluses dans la phase 1 du déploiement?

La première phase (Hôpital Anna-Laberge – version 6.4 + RLS Jardins-Roussillon en mode lecture) va inclure : 

  • la documentation clinique (incluant les principaux formulaires CISSSMO et ministériels);
  • la radiologie;
  • la numérisation;
  • la pharmacie.

Plus concrètement, vous y retrouverez notamment des informations cliniques en lien avec les : 

  • allergies/intolérances;
  • habitudes de vies;
  • signes vitaux;
  • poids/tailles;
  • résultats de laboratoire et d’imagerie médicale;
  • médicaments;
  • FADM électroniques (feuilles d’administration des médicaments);
  • ordonnances et protocoles;
  • résultats visualisables par courbe et tendances;
  • dosages ingestia/excréta;
  • alertes.
Notez que les accès (lecture/écriture) et les fonctionnalités d’Hélios seront conservés dans la nouvelle version du DCI.

3. Est-ce que les appareils connectés seront inclus dans le DCI?

On vous rassure : le besoin d’inclure les appareils connectés est connu de tous. 

Toutefois, ils comme il a fallu prioriser et faire des choix, ceux-ci ne sont malheureusement pas inclus dans la phase 1 du déploiement. Sachez néanmoins que : 

  • les signes vitaux seront inclus dans la phase 1 en saisie manuelle;
  • nous planifions déjà les différents éléments à inclure dans les autres phases de déploiement, et ce, incluant notamment les appareils connectés.

4. Comment s’est fait le choix des fonctionnalités à inclure dans la phase 1?

C’est l’équipe projet qui a émis des recommandations au comité directeur sur les éléments à prioriser dans la phase 1.

Celui-ci a approuvé ces recommandations au début du mois de juillet.

5. Est-ce qu’il y a eu des consultations? Quels sont les ateliers en cours et à venir?

Des ateliers ont été organisés avec une centaine de médecins, infirmières et professionnels en provenance de différents secteurs de nos 3 hôpitaux. Ces personnes voient notamment à uniformiser/standardiser les fonctionnalités du DCI. 

Les ateliers en cours concernent : le déploiement du DCI, la pharmacie, la numérisation et l’urgence.

Les ateliers à venir porteront sur : la gestion des rendez-vous, l’admission/les départs/les transferts ainsi que les laboratoires.

6. Quand pourrons-nous visualiser la plateforme?

Nous savons que vous êtes impatients de découvrir ou redécouvrir cet outil. Restez à l’affût, car vous pourrez avoir accès à des démos/outils/formations dès cet automne!

7. Est-ce que l’échéancier prévu initialement sera maintenu?

À l’heure actuelle, nous sommes à quelques semaines près de notre échéancier initial. Le déploiement de la phase 1 à l’Hôpital Anna-Laberge est donc prévu au début de l’année 2023, et ce, considérant certains imprévus rencontrés en termes de ressources (équipe Hélios, pilotes, etc.).

Nous espérons avoir répondu à certaines de vos questions. Pour en savoir plus sur le DCI ou pour la version complète du Questions-réponses, cliquez ici!

*Des difficultés pour vous connecter à intranet?
Communiquez avec Sylvie Lafleur au 450 699-2425, poste 2438.


Direction générale

Port du masque N95 : obligatoire ou pas?

Parce que la COVID-19 demeure un risque à la santé et à la sécurité présent au travail, la CNESST a tout récemment effectué une mise à jour de ses directives concernant le port du masque N95 dans nos différents milieux de travail. Les ajustements concernent les mesures à appliquer lors de tâches effectuées auprès d’usagers à risque modéré ou faible. Nous vous invitons à consulter la note de service publiée à cet effet pour connaître tous les détails des changements. 

Milieux ciblés : Hôpitaux, soins de courte durée, cliniques médicales, GMF, centres de dépistage COVID-19, cliniques externes, cliniques COVID-19, soins à domicile, milieux de soins de longue durée (CHSLD, RPA) et les ressources intermédiaires du programme-service
SAPA.

Le port du masque N-95 est obligatoire :

  • Pour les milieux déclarés en vigie ou en éclosion de COVID-19 déclarés par le service PCI
  • Lors de soins d’un usager confirmé ou suspecté pour la COVID-19.
  • Lors de soins d’un usager à risque élevé pour la COVID-19:
    a. Usager sans symptôme, avec facteur de risque d’exposition à risque élevé (contact domiciliaire ou partenaire sexuel d’une personne COVID-19) ou ayant reçu une consigne d’isolement de la santé publique et sans l’obtention d’un résultat négatif au test de laboratoire pour le SRAS-CoV-2
    b. Usager sans symptôme qui est considéré comme un contact étroit par le service PCI et sans l’obtention d’un premier résultat négatif au test de laboratoire pour le SRAS-CoV-2.

Considérant la situation épidémiologique qui se dégrade et l’augmentation du nombre de vigies et d’éclosions, le port du masque de procédure est obligatoire pour les travailleurs des milieux RAC et centre d’activité (CA).

Nous vous invitons à consulter la note de service Mise à jour des directives concernant le port du masque N-95 (COVID-19) pour connaître tous les détails. 

Le service de prévention, promotion et mieux-être au travail rappelle que ceux et celles devant porter cette protection dans le cadre de leur emploi doivent avoir suivi une formation et avoir participé à un essai d’ajustement il y a moins de 2 ans.

Inscription aux prochaines séances de Fit-tests

Vous devez vous inscrire à l’une des prochaines séances de Fit-tests offertes par le CISSS. Pour ce faire, communiquez avec :

  • Jardins-Roussillon : Sophie Sirois-Perras, 450 699-2425, poste 2438;
  • Suroît et Vaudreuil-Soulanges : Kim Meunier, 450 371-9920, poste 2019;
  • Haut-Saint-Laurent : Natacha O’Connor, 450 829-2321, poste 3226.

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Communiquez avec Sylvie Lafleur au 450 699-2425, poste 2438.


Direction des ressources humaines, du développement organisationnel et des affaires juridiques (DRHDOAJ)

Maison des aînés et alternative de Châteauguay : thématique recherchée pour les noms des maisonnées

C’est maintenant le temps de choisir les noms des dix maisonnées.

Pour y arriver, nous vous invitons à voter pour la thématique que vous préférez parmi celles qui sont proposées.

Thématiques proposées

Les couleurs

En toute simplicité, les maisonnées seraient associées à une couleur, ce qui permettrait de les différencier rapidement.

Quelques exemples de noms possibles : la maison rouge, la maison bleue, la maison orange…

Les habitations

Afin de rappeler l’ambiance chaleureuse d’un domicile, les maisonnées seraient reliées à un type d’habitation ou à une caractéristique d’une habitation.

Quelques exemples de noms possibles : la maison canadienne, la maison victorienne, la maison au toit rouge, la maison aux volets mauves…

Les voyages

Dans un esprit ludique, les maisonnées évoqueraient un lieu de vacances et de voyage. 

Quelques exemples de noms possibles : la maison au soleil, la maison à la montagne, la maison à la mer…

Les attraits du territoire

Pour faire un clin d’œil à la région de Châteauguay, les maisonnées représenteraient un attrait touristique ou historique.

Quelques exemples de noms possibles : la maison de l’Île Saint-Bernard, la maison du lac Saint-Louis, la maison du musée ferroviaire…

Les transports

Avec dynamisme, les maisonnées seraient associées à un moyen de transport.

Quelques exemples de noms possibles : la maison du bateau bleu, la maison du train rouge, la maison de la voiture jaune…

Les pierres précieuses

En toute délicatesse, les maisonnées représenteraient chacune une pierre précieuse connue pour sa couleur vibrante.

Quelques exemples de noms possibles : la maison émeraude, la maison saphir, la maison rubis…

Vous avez jusqu’au 31 mai pour participer.

Pour voter, c’est par ici : https://bit.ly/3lfNY5O

La prévention du suicide, quel est votre rôle?

Notre organisation s’est dotée d’une politique et d’une procédure concernant la prévention, la gestion et l’intervention en matière de prévention du suicide.

La procédure vient mettre en place un filet de sécurité afin de diminuer les risques de passage à l’acte suicidaire et, en amont, de diminuer et de mieux prendre en charge la souffrance des personnes. La prévention du suicide est l’affaire de tous et il faut s’assurer d’agir de manière concertée.

Votre rôle

Tous les membres du personnel, les stagiaire, les bénévoles ainsi que les médecins ont minimalement le rôle de détecter les indices de vulnérabilité au suicide chez les personnes vulnérables. Tout le monde occupe alors ce rôle et peut détecter des indices chez un usager, un collègue, un gestionnaire, etc.

Votre rôle ne s’arrête pas là! Selon les formations que vous avez suivies, d’autres responsabilités s’appliquent à vous.

RôleÀ faire
– Repérer la personne vulnérable au suicide

– Intervenir auprès de la personne à risque suicidaire
Évaluez le risque de passage à l’acte suicidaire lors de l’examen mental de vos patients et effectuez les interventions appropriées au niveau de risque en collaboration avec votre équipe clinique. 

Pour connaître les différentes actions reliées à chaque rôle, consultez la procédure ou la page Prévention du suicide et intervention de crise de l’intranet.

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Communiquez avec Sylvie Lafleur au 450 699-2425, poste 2438.


Direction des programmes Santé mentale et Dépendance
Direction des services multidisciplinaires, de la recherche et de l’enseignement universitaire

MESURES PCI : quelques rappels

Depuis quelques jours, nous faisons face à une importante recrudescence de cas de COVID-19 dans nos installations qui est causée par un relâchement des consignes sanitaires. Voici quelques rappels importants :

1- Vous devez obligatoirement porter vos équipements de protection individuelle adéquatement. Le virus est contagieux et s’infiltre facilement, il est de votre devoir moral de vous protéger et protéger les autres. 
  • Le fait d’avoir eu la COVID n’exclut pas la personne de ses obligations pour le port des équipements de protection individuelle.
  • Lors d’éclosion ou IMGA : port du masque N95 avec visière est obligatoire.

Permet une plus grande protection puisque l’exposition au risque est plus élevée.

  • Lors de vigie déclaré par PCI : Port du masque N95 avec protection oculaire (visière ou lunette) est obligatoire
  • Lors d’IMGA port obligatoire du masque N95 avec visière est obligatoire.
  • En milieu froid, si présence d’usager pouvant être a moins de 2 mètres port du masque de procédure avec protection oculaire obligatoire. 

Le port du masque de procédure est possible s’il n’y a pas d’éclosion ou de vigie.

En plus de ces recommandations, la CNESST exige le port du masque N-95 pour les milieux suivants : CHSLD, hôpital, CLSC, soins à domicile, clinique externe, GMF, milieu de réadaptation, RPA ou autres ressources d’hébergement lorsque l’usager ne rencontre pas l’ensemble des critères suivants :

  • Il est sans symptôme suggestif pour la COVID-19, nouveau ou aggravé, et;
  • Il n’a eu aucune exposition documentée à un cas connu ou à un milieu où il y a une éclosion de COVID-19 (ex : CHSLD, RPA) dans les 14 derniers jours et;
  • Il n’a pas séjourné en dehors du Canada dans les 14 derniers jours et; 
  • Il a reçu un résultat négatif à un test de dépistage (rapide ou TAAN-labo) pour le SRAS-CoV-2 ou il porte un masque médical en continu.

2- La mesure la plus importante : l’hygiène des mains. Vous devez continuer à vous laver les mains souvent avec de l’eau et du savon pendant au moins 15 secondes ou utiliser une solution hydroalcoolique si vous n’avez pas accès à du savon et à de l’eau.

3- Rappelez-vous : votre milieu de travail et votre vie personnelle sont deux réalités distinctes. Malgré les allègements communautaires, lorsque vous êtes au travail, vous devez appliquer les mesures sanitaires requises par l’organisation.

4- Lors des pauses, je garde mes distances. Il est primordial, plus que jamais, de conserver la distance de 2 mètres entre les collègues. Ce n’est pas un moment pour socialiser et se rapprocher.  

Fin du passeport vaccinal dans nos installations

Le ministère de la Santé et des Services sociaux a récemment annoncé des assouplissements progressifs aux mesures liées à la COVID-19. 

À cet effet, à compter du samedi 12 mars, tous les proches aidants, visiteurs et accompagnateurs dans nos installations n’auront plus à présenter leur passeport vaccinal à l’entrée de nos installations.

Toutefois, il est important de rappeler que la vaccination ou le dépistage demeure obligatoire pour tous les employés du CISSS de la Montérégie-Ouest.

Par le fait même, pour les milieux hospitaliers, l’identification à l’aide de bracelets cessera pour les proches aidants, visiteurs, accompagnateurs et usagers avec rendez-vous en clinique ambulatoire circulant dans l’hôpital. 

Bien que des assouplissements ont été annoncés, il est primordial de faire preuve de vigilance et de préserver toutes les mesures mises en place pour se prémunir contre la propagation.

La vaccination ou le dépistage obligatoire sont des mesures essentielles, tout comme le port des équipements de protection individuelle (ÉPI) et les mesures de prévention et de contrôle des infections (PCI) qui demeurent inchangés et obligatoires.

Voici deux articles à lire ou relire en guise de rappel sur les obligations en vigueur pour tout le personnel du milieu de la santé : Questions et réponses entourant la vaccination et le dépistage obligatoire et Mesures de protection : en milieu de soins ou à la maison, fais la distinction!*

N’hésitez pas à imprimer la note de service liée à cet article en cas de besoin pour affichage aux postes de travail. Merci à tous pour votre collaboration!

*Des difficultés pour vous connecter à intranet?
Communiquez avec Sylvie Lafleur au 450 699-2425, poste 2438.


Direction des services techniques