La Covid ne prend pas de pause!

Saviez-vous que le moment où la contamination entre collègues est la plus élevée, c’est pendant les heures de repas, les pauses et le covoiturage? Voici quelques rappels importants!

Covoiturage

Il est important de respecter la distance de 2 mètres en tout temps, même à bord d’un véhicule. Il est donc recommandé d’éviter le covoiturage lorsque possible. Si toutefois vous êtes contraints de le faire, vous devez restreindre le nombre de personnes à 2 par véhicule; soit un conducteur et un passager à l’arrière. Le conducteur et le passager doivent procéder à l’hygiène des mains et porter le masque en tout temps dans le véhicule.

Lors des repas

  • Le personnel doit manger dans une salle dédiée, soit sur l’unité, à la cafétéria ou à l’extérieur, aucun employé ne peut dîner au poste;
  • Hygiène des mains à l’entrée dans la salle de repas;
  • Désinfection de la table avec solution désinfectante;
  • Respect de la distanciation sociale de 2 mètres.

Et après le repas? N’oubliez pas de remettre immédiatement votre masque pour poursuivre vos échanges avec vos collègues et ainsi limiter le temps d’exposition sans masque. 

Partage de nourriture

Aucun partage de nourriture n’est permis (boîte de muffins, beignes, chocolats, etc.), et ce même si c’est une occasion spéciale!

Manteaux et effets personnels

  • Réduisez vos effets personnels au strict minimum;
  • Entreposez vos effets personnels (manteaux, sacs, boîtes à lunch, sacs à main, etc.) dans un endroit dédié. Si vous avez un casier, vos effets personnels devraient s’y trouver le plus possible;
  • Ne partagez aucun effet personnel avec vos collègues;
  • Mettez votre uniforme en arrivant sur votre lieu de travail et retirez-le avant de sortir de l’installation.

Même vacciné, on continue nos bonnes habitudes!

Même si vous avez reçu le vaccin, il est essentiel de ne pas modifier vos bonnes habitudes et poursuivre les efforts tels que l’hygiène des mains, le port du masque, la distanciation, etc.

Pour en savoir plus : 

Des difficultés pour vous connecter à intranet?
Communiquez avec 
Sophie Sirois-Perras au 450 699-2425, poste 2438.

distanciation

Atténuation du délestage; un petit pas vers la normale…

En raison d’un volume important d’activités liées à la COVID-19 et considérant notre niveau d’alerte 4, notre établissement s’est vu dans l’obligation depuis quelques semaines de procéder à une réduction partielle et temporaire de certains soins et des services.

Comme la situation s’améliore légèrement, nous procédons à une atténuation graduelle du délestage. Il faut cependant comprendre que les examens diagnostics et cliniques sont malheureusement encore limités et un effort d’atténuation des impacts est fait.

Attention! Il ne faut pas crier victoire tout de suite. Plusieurs éléments viennent encore influencer la situation comme les absences du personnel liées à la COVID ou la venue des variants pour lesquels nous ne sommes pas à l’abri. La prudence est donc de mise et les mesures sont évaluées sur une base régulière puisque la situation peut évoluer d’un côté comme de l’autre. 

En voici quelques exemples :

CLSC

Les services des cliniques ambulatoires de soins infirmiers et des centres de prélèvements des CLSC reprendront graduellement leurs activités, selon certaines modalités. Les usagers nécessitant ce service peuvent se rendre sur le site Internet Clic Santé afin de s’inscrire. Compte tenu de la reprise graduelle, les plages peuvent être restreintes pour certains secteurs, mais de nouvelles disponibilités seront ajoutées en continu au cours des prochaines semaines.

Durant cette période de transition, nous allons également maintenir la ligne téléphonique spéciale. Ainsi, pour toutes demandes urgentes, les usagers peuvent encore prendre rendez-vous en téléphonant au numéro suivant : 1 833 699-2414, du lundi au vendredi, de 8 h à 16 h. 
______________________________

Réadaptation – clientèle DI, TSA, DP

Bien qu’aucun service n’ait été fermé, des interventions ont été mises en suspens, soit partiellement ou totalement. L’atténuation du délestage permettra une reprise des activités qui étaient diminuées, notamment pour desservir les usagers sur la liste d’attente d’un premier service. À noter que depuis le début de la pandémie, la situation de chaque usager est analysée dans une optique d’intégrité et de compromission permettant ainsi la prise en charge lorsque jugée nécessaire. La même analyse sera faite pour la reprise des activités en tentant de conserver un équilibre entre l’accessibilité et la continuité des services.
_______________________________

Blocs opératoires 

En raison du délestage, nous avons dû reporter certaines chirurgies considérées comme non urgentes, ce qui a eu une incidence sur les listes d’attente. Ainsi, l’atténuation du délestage permettra d’augmenter l’offre de service en chirurgie. Il est toutefois important de préciser que malgré la situation de délestage, les cas urgents, semi-urgents ainsi que les chirurgies oncologiques ont toujours été maintenus. 
________________________________

Vaccination COVID-19 : plusieurs nouveautés et outils

Ce que vous devez savoir

Les médecins jouent un rôle essentiel en matière de promotion de la vaccination auprès de leurs patients. Une boîte à outils a donc été créée pour vous soutenir.

  • Plusieurs sites offre/offrirons la vaccination sur le territoire :
    • Candiac – ouverture le 14 janvier  : 30, rue Strasbourg;
    • Salaberry-de-Valleyfield – ouverture le 26 février : 50, rue Dufferin;
    • Municipalité d’Ormstown – ouverture le 19 mars : 87, rue Roy;
    • Vaudreuil-Dorion – ouverture le 11 mars  : 3093, boul. de la Gare;
    • Châteauguay – ouverture le 18 mars : 27, boul. Saint-Francis.

À celles-ci s’ajoutent des cliniques mobiles de vaccination qui se déplacent sur l’ensemble du territoire pour vacciner, à proximité, les usagers priorisés pour recevoir le vaccin.


Vaccination des travailleurs de la santé 

  • La vaccination des travailleurs de la santé se poursuit.
  • Le personnel et les médecins ciblés souhaitant se prévaloir du vaccin peuvent :
    • communiquez avec Mélanie Harbec au 450 455-6171, poste 70105 (omnipraticiens/GMF et cliniques privées);
    • communiquez avec Sophie Sirois-Perras au 450 699-2425, poste 2438 (autres médecins).

Début de la vaccination de masse : ce que vous devez savoir

  • La prise de rendez-vous est obligatoire.
  • La prise de rendez-vous en ligne est priorisée (pensons offrir du soutien à nos proches âgés).
  • Les personnes dans l’impossibilité de prendre rendez-vous en ligne peuvent appeler au 450 644-4545 ou au 1 877-644-4545 .
  • À compter du 25 février, les personnes de 85 ans et plus peuvent prendre rendez-vous pour obtenir leur vaccin contre la COVID-19.
  • La vaccination débutera le 11 mars pour ce groupe.

PSST : pour ne rien manquer de l’actualité entourant la vaccination, consultez régulièrement la page Vaccination contre la COVID-19.

Des difficultés pour vous connecter à intranet?
Communiquez avec 
Sophie Sirois-Perras au 450 699-2425, poste 2438.

vaccination-covid-bint

Le protocole de priorisation des soins intensifs : on s’y prépare…

La 2e vague semble montrer des signes d’essoufflement. Il s’agit d’une bonne nouvelle. Toutefois, nous devons être prêts si une recrudescence des cas et des hospitalisations survient. C’est dans cette optique que les différents travaux préparatoires se poursuivent en vue d’une éventuelle application du protocole de priorisation des soins intensifs, au besoin.

Ce que vous devez savoir sur le protocole

  • Il s’agit d’une mesure de dernier recours.
  • Seul le gouvernement peut activer le protocole. Il doit y avoir une saturation entre 150 % et 200 % de la capacité d’accueil des soins intensifs de l’ensemble du réseau (pas uniquement d’un établissement ou d’une région spécifique).
  • On s’y prépare… au cas où. Il y a plusieurs mesures qui sont prévues afin d’éviter d’en arriver là.
  • Le protocole concerne les adultes uniquement.
  • Son objectif : sauver le plus de vies possible! La priorisation repose en effet sur les chances de survies des patients. Des motifs discriminatoires (ex. : sexe, race, état civil, déficience, etc.), la « valeur sociale » d’un individu ou le jugement quant à sa qualité de vie n’influenceront d’aucune manière la priorisation.
  • Tous les patients obtiendront des soins. Les personnes qui ne pourront être admises aux soins intensifs continueront de recevoir les soins les plus appropriés à leur état.
  • Dans l’éventualité où le protocole devait être appliqué, des outils et du soutien seront disponibles pour le personnel et les médecins concernés ainsi que pour les usagers et leurs proches.

Où en sommes-nous?

  • Un comité de travail est responsable de coordonner les différents travaux de la phase préparatoire au protocole.
  • Un plan d’action a d’ailleurs été élaboré en ce sens. Celui-ci comprend notamment :
    • un volet communication;
    • les activités de préparation des médecins, des trios de priorisation ainsi que du personnel (incluant formation et simulations);
    • la mise sur pied d’une équipe de soutien éthique et psychologique pour le personnel et les usagers/proches.
  • Les membres des différents trios de priorisation ont été identifiés.

Constitués de 2 médecins et 1 clinicien éthicien, ils seront responsables d’évaluer (de manière objective et éthique) les demandes de soins intensifs en fonction du diagnostic et des paramètres cliniques établis par le protocole.

  • Les membres de l’équipe dédiée au soutien éthique et psychologique sont également connus.
  • La formation du personnel et des médecins concernés par le protocole débutera au cours des prochaines semaines.
  • Un comité central local, qui relève directement du CMDP, a également été créé. La première rencontre est prévue d’ici la fin février. Ce comité assurera une vigie en termes de qualité et de la cohérence de nos façons de faire (trajectoires, procédures, décisions, etc.), et ce, en lien avec les enlignements du ministère.

Pour en savoir plus sur le protocole : Le protocole de priorisation en bref.